Qui sommes-nous

notre histoire

NOV.
2013

création de socass

Épargne-retraite, prévoyance et complémentaire santé à Nancy et dans la région Grand Est

JUIL.
2018

acquisition de icade courtage

Afin de renforcer notre présence en Alsace

DEC.
2018

acquisition de cabs

Société ayant la même activité que Socass

SEPT.
2019

nouvelle arrivée

Fabien PELC rejoint l’équipe commerciale


2020

Mise en place du Pôle IARD

Responsabilité civile, flotte de véhicules, dommages aux biens

notre équipe

Lire un contrat, c’est lire dans la vie

« Un contrat d’assurance raconte toujours une histoire. Il est essentiel de le remettre au goût du jour dès qu’une page se tourne sur le plan professionnel, familial ou personnel. Voilà le cœur de mon métier de courtier : savoir lire un contrat comme on lit dans la vie et proposer un accompagnement qui épouse chaque situation nouvelle. »

Un cadre, une méthode, des objectifs
« Pour moi », rappelle Benoît Pelc, « tout a commencé il y a une vingtaine d’années. J’étais informaticien dans l’Armée de l’air et en parallèle volleyeur de haut niveau. Ma carrière militaire passait par une mutation à Paris. Mes dirigeants sportifs souhaitaient me retenir. Ils m’ont proposé un poste chez le sponsor du club, un courtier en assurances. J’ai essayé. Et à ma grande surprise, je suis tombé amoureux du métier. J’ai alors compris que si quelqu’un avait su expliquer à mon père qu’un contrat de prévoyance pouvait mettre son entreprise et sa famille à l’abri, il aurait de toute évidence signé, nous épargnant bien des difficultés. J’ai cette fibre là : l’envie de protéger les gens parce que je sais combien c’est important. »

Et de conclure : « L’armée m’a donné un cadre. Le sport de haut niveau, une méthode pour atteindre des objectifs. Et mon métier concilie aujourd’hui les deux : le cadre qui est essentiel pour établir une relation de confiance et la méthode pour que le contrat souscrit soit à la hauteur des attentes du client. »

L’ECOLE DU HAUT NIVEAU

« J’ai commencé le volley-ball à 12 ans et il ne m’a plus quitté ! » Sélectionné dans toutes les équipes de France jeunes, Fabien Pelc a enchaîné très tôt les entraînements, les matchs et les rattrapages de cours le samedi matin. Un parcours exigeant, vécu loin de sa famille, qui aurait pu tourner court. « Je voulais arrêter le volley à haute dose, quand Benoît, l’un de mes deux frères, m’a invité à le rejoindre à Nancy pour me remettre en selle. À ses côtés, c’est reparti. À 19 ans, j’ai signé un premier contrat pro à Metz. Ont suivi des saisons à Épinal, Chaumont, Grenoble, Martigues et pour finir Asnières-sur-Seine, à 31 ans. »

La balle au bond
« En tant que professionnel », souligne Fabien, « j’ai connu une belle première vie. Mais les revenus de volleyeur n’ont rien à voir avec ceux de footballeur. Quand ma carrière s’est arrêtée, il a fallu envisager la suite, sachant qu’à part le volley, je n’avais pas grand chose à valoriser. J’ai donc réalisé un bilan de compétences, histoire de mettre en lumière les aptitudes que j’avais développées dans le sport de haut niveau : le travail d’équipe, la ponctualité, la remise en question, la notion d’objectif à atteindre, la résistance à l’échec. À partir de là, les portes se sont ouvertes assez facilement, car ces qualités sont recherchées par les entreprises. Benoît m’a aiguillé sur le secteur de l’assurance où je le voyais s’épanouir. J’ai saisi la balle au bond.

Durant sept ans, j’ai appris le métier comme commercial puis comme agent général, avant de le rejoindre chez Nelio comme courtier. » Un nouveau challenge placé sous le double signe de la fraternité et de l’empathie : « Ce que je propose à un client, c’est ce que je ferais pour moi. Je ne sais pas travailler autrement. »